dimanche 5 octobre 2014

La route forestière des tamarins ou le calme palpable


Ce samedi a été l'occasion pour nos deux petits métropolitains d'aller se balader du côté du Maïdo. Non au Maïdo même, mais un peu plus bas, sur la route forestière des tamarins. On y accède via une vingtaine de kilomètres en lacets, ce qui vous donne une idée (ou pas) de la hauteur à laquelle ils sont montés. Quelle ne fut pas leur surprise, une fois le sentier entamé, lorsqu'ils entendirent... l'absence de bruit. Eh oui, le non bruit ne fut jamais aussi audible par leurs oreilles qu'en cet instant (1h30) de promenade. Si vous connaissez le silence, sachez que ce qu'ils entendaient était au-delà. Quelques gazouillis d'oiseaux pigmentaient ce tableau sonore et le rendaient d'une beauté étrange, comme tirée d'une forêt elfique.

Ce "sentier découverte" propose aux randonneurs de découvrir (vous vous y attendiez) l'arbre portant le nom de "tamarin", ou encore de "chêne bourbon". Ainsi, tout au long du parcours, nos deux héros apprirent que le tamarin est coupé à l'âge de 80 ans pour toute sorte de menuiserie et qu'il résistait aux cyclones. Enfin, vous verrez sur les photos que certains résistent mieux que d'autres.



Comme d'habitude, vous avez accès au diaporama en cliquant ici.

2 commentaires:

  1. c'est vraiment très beau ! et les tamarin, c'est trop bon mais les noyaux sont un peu gros. Il faut faire gaffe au printemps car le Tamarinier libère des espèces de poils vachement urticant donc il ne fait pas se promener ! (info que j'ai eu quand j'étais à Madagascar ;)
    bisous
    Jeanne

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  2. Ca doit vraiment pas être facile de faire de la menuiserie dans ces tamarins !

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"Maintenant j'attends vos questions, mais méfiez-vous de ce que vous allez baver" Arthur in Kaamelott, livre III, épisode L'étudiant